Me voilà assise par terre, dans les toilettes, avec le tire lait branché sur mes seins. Léon vient de fêter ses 6 mois et l’allaitement se passe plutôt bien alors je le continue à l’allaiter malgré ma reprise des activités professionnelles. C’est chiant le tire lait. C’est une grosse machine branchée à mes seins qui essaye d’imiter le moment de l’allaitement sauf que mon corps ne se fait pas berner comme ça alors parfois je passe 20 minutes à respirer profondément, imaginer que je tiens mon bébé dans mes bras, visualiser son visage quand il sourit – et quand je regarder les deux petits flacons ils sont presque vides. Donc je m’énerve. Donc mon corps se ferme encore plus. Lâche encore moins de lait. Et c’est là où je pense à l’image de Pink avec son tire lait juste avant un concert et je me rappelle que je ne suis pas seule. Et me voilà assise par terre, dans les toilettes, avec le tire lait branché sur mes seins et je me trouve belle. Genre – putain c’est fou tout ce que tu arrives à faire femme, belle. Le lait coule à nouveau. Mais quand même, mes seins sont presque vides. Je vous explique. Le lait maternel est produit instantanément pendant que le bébé téte, donc avoir les seins vides ou remplis n’est pas forcément une indication de notre capacité à allaiter. Mais quand même, quand on dort, qu’on mange des aliments nourrissants, qu’on rit et on se détend, qu’on reçoit un massage, les seins se remplissent. Je regarde vers le bas et je peux savoir en un clin d’œil, comment je me sens. Et ces dernières semaines, c’est vide.
Et ces derniers jours, c’est très très vide. Parce que je suis assise par terre, dans les toilettes, le tire lait branché à mes seins et j’ai mes règles. La magie de l’allaitement me permet de voir l’effet des règles sur le corps. Ma production de lait se tarit quand j’ai mes règles. Mon bébé presse sur mes seins, exaspéré. Est-ce une surprise ? Je suis en train de mener une activité professionnelle, nourrir un enfant de 67 cm et 8 kilos à bout de mes 2 seins et en plus, la grande purge mensuelle vient de commencer et je perds du sang. C’est comme si je décidais de faire un don du sang tous les jours, en plus de tout ce que je fais déjà! Complètement dingue. Je suis assise par terre et je regarde mon corps et des larmes chaudes montent derrière mes yeux. Cher corps, je suis toujours en train de demander tellement de toi. Et qu’est-ce que je te donne assez en retour ?
Et Projet Chéris ton corps, naquit.
Energie
Il y a un test en Ayurveda qui nous permet de savoir si ce qu’on consomme nous donne vraiment de l’énergie, ou nous en taxe davantage. Un aliment énergétique devrait être capable de booster notre énergie le matin et permettre un sommeil reposant le soir. Le but est de se sentir régénéré pas stimulé. Si vous consommez un aliment ou un complément le soir, et qu’il vous empêche de dormir ou vous rend agité : c’est un stimulant. Pas un régénérateur ! Donc je ne peux pas compter sur mon café du midi pour me donner l’énergie dont j’ai besoin. Ce type d’aliments nous vide lentement de nos réserves, crée une chute d’énergie dans les heures qui suivent et joue avec nos émotions. J’ai besoin d’un véritable plan d’action pour reconstruire mes réserves d’énergie. Poser les briques de ma fondation. Traiter mon corps comme un temple sacré (il l’est).
Smoothie régénérateur ayurvédique
Matin et soir je vais me préparer un véritable aliment énergique. Qui va me stimuler le matin et me nourrir le soir : ce sera le smoothie régénérateur ayurvédique. Je commence la veille en faisant tremper des amandes dans de l’eau. Le lendemain matin, je prépare mon « tonique ayurvédique » :
- lait végétal (choisir un lait à consistance crémeuse comme celui à l’avoine, ou au riz/noisettes)
- amandes décortiquées (l’eau les aura rendues molles pendant la nuit et faciles à dénuder)
- 1 à 2 bananes
- spiruline (pas trop, où tout le smoothie aura un goût marin) + dattes (1 à 2)
- cacao en poudre (optionnel).
Mixer. Boire matin et soir. Précision : ceci n’est pas mon seul petit déjeuner, ce n’est pas assez ! Prévoir une céréale et/ou des fruits/légumes en accompagnement. Avocats sur toast. Flocons d’avoine. Toast confiture, purée d’oléagineux. Faites-vous plaisir !
Arrêter de bombarder mon corps d’informations
Alimentation
Contexte : Depuis que j’ai accouché de Léon il y a 6 mois, on me demande : alors, tes tissus se resserrent ? ton ventre retrouve sa tonicité d’avant ? tu remets tes anciens vêtements d’avant grossesse ? Tout ça pour dire la même chose : est-ce que tu as perdu ton poids de bébé ? LA RÉPONSE EST NON !! Enfin, j’ai perdu le poids du bébé. Ses 5 kilos à lui de bébé et de placenta et de fluides. Mais je pèse toujours 10 kilos de plus qu’avant la grossesse. Et cette question a tellement le don de m’énerver que je mange expressément tout ce que je veux, quand je veux sans me contraindre d’aucune sorte. Juste pour dire merde. Je viens de réaliser qu’en pensant ne pas tomber dans le piège de l’apparence extérieure (et en assumant mes 10k !) je suis tombée la tête dedans la première. En voulant montrer aux autres que je n’en avais rien à faire de l’apparence de mon corps, j’ai arrêté de l’écouter. Je grignote toute la journée et je mange tard le soir et je rajoute des portions doubles. Je ne mangeais pas comme ça avant d’être enceinte. Pas parce que je voulais que mon corps soit plus ferme ici ou plus tonique là. Non. Je ne mangeais pas comme ça parce que je ne me SENTAIS pas bien quand je le faisais. Je mangeais des aliments nourrissants et frais et délicieux pendant les repas – puis je créais du vide entre les repas. Parce que ça forçait mon corps à vraiment digérer ce que j’avais mangé. A aller aux toilettes. A faire une pause. Et quand je revenais à table, et je mangeais avec les doigts et je me régalais c’était à partir d’un tableau blanc. D’une table rase. Ça m’aidait à manger plus en conscience plutôt qu’en mangeant une nouvelle couche d’aliments par-dessus les dix autres que je venais de m’enchaîner. Bref, tout ça pour dire : je suis revenue à l’eau chaude entre les repas et c’est tout. Vous pouvez la choisir tempérée si l’eau chaude vous dégoûte vraiment mais ce n’est pas si horrible que ça. Essayez ! Eau chaude sirotée entre les repas. Ça va vous aider à digérer, relâcher la lourdeur et le stagnant et le collant qui traîne dans le corps. Faire de la place pour la légèreté. Du cœur.
Informations
Tout a de l’énergie. Il n’y a rien qui n’ait pas de l’énergie. Tout est composé d’énergie. Donc quand on parle « d’avoir de l’énergie », de se « sentir bien dans son corps », on ne peut pas ne pas parler de l’idée que tout est énergie. De notre écoute subtile des énergies ou du développement de notre capacité à percevoir l’énergie de toutes les choses. Qu’est-ce que je mets dans mon corps ? Dans un premier temps c’est l’alimentation. Je reviens à des aliments bruts qui me nourrissent comme les figues séchées, les oléagineux, les fruits frais (plutôt que systématiquement les biscuits pour le goûter), les lentilles (en tant que végétarienne j’oublie souvent de consommer assez de légumineuses).
Mais il n’y a pas que les aliments qu’on consomme au quotidien. On consomme de la musique par exemple. De la musique qui emplit la maison avec des bonnes énergies. On consomme aussi des conversations. Son téléphone. Combien de temps je passe sur Instagram ? Et comment je me sens après avoir consommé des informations sur ce media ? Energie haute ou énergie basse. On a besoin de devenir plus finement conscients de qu’on consomme, sous quelle que forme que ce soit et est-ce que ça nous élève vers le haut ou nous alourdit vers le bas et juste devenir conscient de ces fluctuations d’énergie. C’est un des plus grands cadeaux qu’on puisse s’offrir. Développer une véritable connaissance des choses et comment elles nous affectent.
Donc pas exemple, pour moi, un détonateur c’est les moments « entre-deux » dans ma journée. J’ai tendance à les remplir de mon téléphone. Je fais le triangle : je regarde Gmail, je regarde WhatsApp et je regarde Instagram. Puis quand j’ai fini Instagram je regarde à nouveau mes mails au cas où j’ai reçu un nouveau mail entre temps. Et je peux refaire ce triangle deux, trois fois à la suite. Mais le truc c’est que ce moment de vide « entre-deux » c’est un peu comme le verre d’eau chaude ayurvédique. C’est une occasion pour digérer toutes les informations qui ont besoin d’être digérées. Les sons, les impressions, les croyances, les pensées, les émotions qui se sont formées dans les minutes/heures passées. Et à chaque fois que je rajoute plus d’informations par-dessus un état de trop plein, j’ai la nausée d’informations. Parce que c’est ça que l’excès de stimulation fait, toutes ces couches d’information nous éloignent de notre centre. Et quand on est loin de ce centre, on part dans la vie à partir d’un sentiment d’urgence, ou de « je ne suis pas assez ». Et pour aller plus loin dans un plan plus subtil, je suis déconnectée de mon intuition et de mon feeling intérieur qui me fait voir des choses en avance ou pressentir que je dois aller là,
ou là.
Donc une autre grande partie de cette question de l’énergie et de cette connexion à la nature, aux autres, c’est la connexion à soi-même. C’est venir à l’intérieur et s’asseoir ou s’allonger à même le sol, fermer les yeux et écouter et sentir, et laisser notre monde intérieur prendre vie. Pendant quelques minutes, sans contrôler. Par exemple si j’ai une boule au ventre ou une grande fatigue, sans chercher à la changer, ou l’apaiser, ou la contenir, ou l’arrêter. La laisser respirer. Il y a une grande intelligence à l’intérieur de nous, des informations qui cherchent à migrer, des systèmes qui veulent mieux communiquer, pour notre santé optimale.
Donc, je ne vais plus remplir mes entre-deux : je vais les vider.
Quand j’aurai envie de prendre mon téléphone, je vais m’allonger par terre et laisser maman-terre me porter et respirer, peut-être faire quelques mouvements de yoga. Fermer les yeux. On va voir où ça me mène! Projet Chéris ton corps, vous venez?
Merci pour ces mots Cécile ! C’est quelque chose qui me parle, que je sentais confusément, et que tu expliques si bien. Énergie haute après la lecture de ton article, je reprends ma route, et te souhaite de continuer toi aussi sur ce beau chemin. Je t’embrasse.
comme je te comprends sur ces injonctions extérieures et intérieures…Envie de me foutre du regard des autres mais en même temps conscience que j’entre dans mon corps des aliments qui me veulent du mal…j’ai plutôt tendance à vivre le présent mais le mental est parfois capricieux…je te suis !
Bienvenue Laurence! On est connectées par un pacte invisible et je te soutiens totalement :)
à nos eaux chaudes!
Bisous,
Cécile
Mon dieu ça me parle tellement. Merci mais merci. Je galère avec mon tire-lait, je tire genre 30mL par jour, Elena me reveille encore 3 fois par nuit, je me sens vidée d’énergie et plongée dans cette spirale négative: je GRIGNOTE ! je vais laisser mon téléphone, et m’ancrer à mama Gaia, et faire tremper des amandes… J’adore ce projet, merci Cécile.
Mama Gaia et moi : on t’aime !
Bisous,
Cécile
T’es juste une déesse. Projet Chéris ton corps : je plonge dedans ! Mon corps ne me demande que ça, et pourtant je ne l’écoute pas. Alors allons-y! <3
Ma copilote préférée :)
Bienvenue Ariane !
Oh, j’oubliais, tous ces cheveux que je perds depuis mon retour de couche me mettent hyper mal à l’aise… (je ne savais pas qu’on pouvait les perdre!!) Tu as une astuce? :( c’est la partie physique post accouchement qui me rend dingue… comment chérir mes cheveux? ❤
J’y réfléchis pour le prochain article Projet Chéris ton Corps – partie 2!
(j’en ai perdu un PAQUET)
Plein d’amour,
Cécile
C’est hormonal, en fait. Il s’agit de tous les cheveux qui ne sont pas tombés pendant la grossesse et les quelques mois après la naissance, où hormonalement tu es encore à moitié enceinte (surtout si tu allaites). Pour moi, c’est autour de 4-6 mois. Puis ça repousse, c’est ridicule, et vers 12-18 mois ça reprend forme (j’ai les cheveux courts…). Pas d’inquiétude!
D’ailleurs, j’ai remarqué le même phénomène chez mes deux bébés. Chute de cheveux continue dès la naissance puis duvet de repousse qui commence vers les 6 mois. D’une autre couleur (plus claire). Et qui refonce avec le temps.
Moi aussi, autour de 3 mois, j’ai perdu beaucoup de cheveux, et ils ont repoussé… mais avec une texture graisseuse et cassante ! J’utilise depuis un mois un shampooing de la marque Khadi, que je trouve chez biocoop, et je retrouve petit à petit une texture normale (épais et lisses).
… Merci
Superbe ! Merci pour tes mots toujours bien choisis et pour ce sacré bon sens dont tu fais preuve. Une vraie inspiratrice
Je t’envoi plein de belles énergies
Oh, Manon!
Je suis tellement reconnaissante que tu sois là pour les lire.
Plein d’amour,
Cécile
Bonjour Cécile,
Je suis heureuse de te retrouver à travers cet article que tu viens de mettre en ligne.
Tout cela me parle tellement. Cette semaine, j’ai également été amené à prendre soin de mon corps en pratiquant la randonnée aquatique dans l’Atlantique. Je sens mon corps qui s’allège, qui se ressource et qui me remercie. Je l’ai tellement sollicité depuis plus d’un an et demi. Je souhaite encore progresser notamment au niveau alimentation car à contrario de ce que tu as vécu ces derniers mois, je ne me suis pas suffisamment alimenté ces derniers temps, notamment à cause de salades faites sur le pouce et prises quasi systématiquement devant l’ordinateur au travail le midi. J’aimerai offrir à mon corps les aliments dont il a besoin pour compenser toute l’énergie que je lui demande et manger en conscience.
Merci pour ce bel article : j’aime beaucoup l’idée du Projet Chéris ton corps! Je vais m’en inspirer et me concocter des smoothies régénérateurs ayurvédiques!
Prend soin de toi!
Bises, Gwénola
oh merci belle âme d ouvrir ton coeur et de partager ta si jolie plume…ça me parle tellement tout ce que tu écris et vis…j ai le mm manque d énergie…nos bébés ont seulement 3 mois d écart et on vit les mm choses… je ne chéri a plus assez mon corps depuis la naissance de ma petite Mila…tout est tourné vers elle et son bien être…je l allaite encore et elle me réveille tt les nuits 1 à 2 fois pr manger… c est épuisant!!
et en mm tps tellement magique d être maman
..un ascenseur émotionnel si puissant…
cette nuit j ai eu une colère qui est sortie si fort…je m en veux tellement qu elle y ait assisté…
du coup je saute à pieds joints dans ton programme Mon corps chéri… ;)
mille mercis de partager si justement tes émotions et ton vécu..
on se sent moins seule ;)
tellement envie de faire ta connaissance ;)
grosses bises
Elodie
Merci Elodie! J’espère également qu’on se rencontrera cette année, ou la prochaine :)
Tu n’es pas seule. tu ne l’es pas!
plein d’amour & toutes les émotions du monde ont leur place.
Cécile
bonjour, si je peux me permettre, prendre son enfant dans les bras quand on se relie au tire lait aide énormément, l’odeur, le contact, et le corps réagit :-)
Les cheveux, ça peut venir de la thyroïde, il faut faire attention :-) bon courage , gardez en tête que c’est la plus belle période de toute votre vie..chérissez vous, parce que c’est vous le moteur, et merci Cécile:-)
On « culpabilise » moins d’être sur son téléphone quand c’est pour lire des mots si justes!
Avec toi de tout coeur dans ce projet!
Bon chemin avec ton corps.
Je partage ton ressenti sur les moments « entre-deux » et me disais justement il y a quelques jours qu’il faudrait que j’apprenne à me poser seule avec moi quand j’ai ce réflexe de partir dans ce fameux triangle dont tu parles… J’ai beau savoir que ça ne me met pas dans une bonne énergie et bien je plonge quand même à chaque fois et ça m’énerve … Je me demandais du coup pourquoi j’arrive à me poser comme ça en cours de yoga et pourquoi je n’arrive pas à m’accorder cela quand il n’y a personne d’extérieur pour me guider, c’est hyper difficile en fait de s’engager comme ça envers soi-même sans regard extérieur, sans aucune attente ou validation extérieure, juste avec soi-même …
Merci à toi de nous faire partager ton cheminement intérieur !
Isabelle
Bonjour Cécile ! Encore une fois je me reconnais dans chacune de ces lignes, je me revois tirer mon lait dans les toilettes du bureau. Et manger juste pour dire » laissez moi tranquille ! », et la pause téléphone après plusieurs heures de travail sur ordinateur. Tout cela paraît tellement contradictoire et pourtant les années passent et je suis toujours coincée dans cette dynamique. Alors oui allons y, cherissons notre corps,je crois que c’est exactement ce dont j’ai besoin.
Bonjour Cécile et merci pour tout ce que tu véhicules. Tu es pour moi une belle source d’inspiration. Mon corps a besoin que je prenne soin de lui, j’ai toute une vie de retard à rattraper. Je ne savais pas trop par quoi commencer, le pauvre, je lui fais porter 30kg d’armure moelleuse. Alors pour commencer, je viens de me faire chauffer de l’eau…
Bises,
Raphaëlle, la Mauvaise Épine
Merci pour tes mots. Je ne suis plus au stade du tire-laot mais celui de la ménopause. Ces deux stades se ressemblent dans la métamorphose de notre corps. Et comme j’ai eu une ménopause précoce, je ne l’ai pas vu venir. Alors merci ! Et je fonce dans le projet Chéris ton corps
Ca fait du bien de te lire de nouveau! J’avoue être dans un moment similaire, mais plutôt parce que d’une tendinite à l’épaule je passe à une tendinite du poignet… ma pratique du yoga est un peu moins intensive, elle me manque… et puis je réfléchis et je me dis que peut être que j’ai voulu trop lui en demander, et que si quand je retourne sur mon tapis je prends le temps de placer l’ intention de lui faire du bien et de réellement l’écouter ça sera déjà beaucoup! Alors je te suis dans ce projet chéris ton corps et accepte où il en est ici et maintenant !
Mon premier message sur ton blog! Je l’ai découvert lorsque je suis tombée enceinte…et j’ai découvert que toi également, à quelques jours de différence. Et cet article me parle énormément, comme tous les autres d’ailleurs! « Ravie » de voir que je ne suis pas seule à galérer avec le tire-lait… J’essaie un manuel la semaine prochaine, on verra bien! :) Et ce concept de remplir l’entre-deux me parle tellement : moi c’est Gmail-Facebook-Gmail-Facebook etc. Etant encore en congé parental (j’ai pris 6 mois de rab avec ma chouquette), je me désespère souvent quand je regarde ce que je fais de mes journées au lieu de passer des vrais moments avec ma fille :( et ça ça ne doit pas tellement nourrir mon corps. Un article sur les cheveux m’intéresse également ;) et une petite question pour la route : spiruline et allaitement sont-ils compatibles? Je pensais que non donc j’ai arrêté d’en prendre alors que j’en prenais pendant la grossesse (j’avais cru comprendre que ça détoxique et que les éléments toxiques risquaient de passer dans le lait)… A bientôt :)
Merci <3
Tu es une merveilleuse source d'inspiration <3
Je te rejoins dans ce projet chéris ton corps !
Chère Cécile,
Merci pour tes beaux partages tellement sincères, justes et inspirant. Merci d’être toi et pour la belle personne que tu sembles être.
Je te lis toujours avec joie, c’est l’un des rendez-vous positifs sur ma page Facebook.
Bon courage avec les épreuves de ta vie de jeune maman!
Une autre Cécile.
Ce message me parle tellement car depuis quelques jours je suis vidée d’energie, le seul fait de me lever m’epuise et ce n’est pas du tout mon tempérament ! Alors écoutons notre corps, et chérissons le . Merci Cécile
Je te suis !!
Fatigue et nausée présentement. Et je sais pourquoi, c;’est un peu alimentaire mais surtout comportemental (trop d’écran…) et émotionnel. Et pour une fois je ne lutte pas, j’accepte, ça ne s’en va pas, mais c’est plus léger.
Merci!
Cécile, juste merci ❤. Pour tout!
Je te suis pour ce projet aussi. Je n’ai pas encore de bébé à nourrir, mais mon corps de femme me réclame de l’amour, de l’attention et du respect envers moi-même :).
Maëlle
(Nous nous sommes rencontrées à ta première retraite en bretagne)
Toujours heureuse de te lire Cécile. Tes articles sont toujours d’une grande justesse. Revenir dans son centre : un travail de chaque instant et pourtant quand on y est , on est tellement bien, tellement complète. Il n’empêche, je m’en éloigne sans arrêt…. Je suivrai tes précieux conseils. Bel été !
Oh merci Cecile, une fois de plus tu mets des mots sur ce que je vis sans réussir à l’analyser (aussi parce que je n’en prends pas le temps)… j’aimerai tellement adhérer à ce projet chéri ton corps car j’en ai besoin, mais en même temps tellement peur de ne pas avoir l’énergie de ces efforts qui pourtant me paraissent essentiels… je me sens tellement vidée et à bout! …
Merci pour ces merveilleuses paroles qui me touche tout particulièrement dans cette période de transition ! Je ne suis pas tendre avec mon propre corps, heureusement qu’il me pardonne ma dureté la plupart du temps ! Bel été à toi.
Merci de ta générosité d’âme et de coeur. Ta sensibilité raisonnne avec la mienne et elle l’élève là où elle hésite encore à aller.
Merci pour ces mots qui résonnent en moi et qui mettent en lumière ma sonnette d’alarme qui retentit dans tout mon corps depuis quelques temps déjà! Je te suis dans le projet!
NAMASTE
Je te suis. Elios a 5 mois la semaine prochaine. Tout va bien mais je bouffe de l’an merde pour compenser la fatigue et les douleurs mais cette mal bouffe au lieu de me consoler, m’entraine Encore plus vers le bas.
Merci pour tes mots si plein de sagesse et de bon sens!
Merci de mettre des mots si juste sur des pensées qui nous habitent
Merci de nous partager cela
Lorsque je te lis j’ai le sentiment de te connaître
Merci d’être aussi lumineuse et de nous éclairer
Mais quel délice cet article Cécile.
C’est si important d’écouter son corps!
Je me rends compte que je fais beaucoup de choses dont tu parles ici. Des choses ayurvédiques sans le savoir!
J’écoute mon corps le plus souvent possible! et c’est tellement bon de se sentir en accord avec lui!
Alors, je chéris mon corps !
Merci pour ce magnifique article qui m’inspire énormément.
Maman de 2 loulous de 14 mois, prématurés, et qui ont passé l’hiver malade non stop, je ne vois pas le bout du tunnel du point de vue energétique. Pas de répit.
Mon plus grand regret est de ne pas les avoir « allaité » plus de 2 mois, étant donné qu’ils n’avaient pas la force de prendre le sein (ils ont été hospitaliés 1 mois en néonat et avaient une sonde gastrique pour etre nourris de mon lait), je n’ai connu QUE le tire lait! L’impression perpétuelle d’etre une vache laitiere (ca donne envie d etre 100 poucent vegan!) et de passer son temps à tout faire pour ses enfants sans partager ce moment si chaleureux de l’allaitement… C’est pour ca qu’au bout de 2 mois j’ai « abandonné », mais je le regrette aujourd’hui encore. Ah la culpabilité maternelle…
pourtant en grande naive que je suis, je pensais qu’en tant que prof de yoga j’allais « gérer » tout ca sans problème… tu parles!
Je me sens à la fois heureuse mais débrodée, prise dans un tourbillon infini (des fois je me dis « vivement dans 30 ans qu’ils partent de la maison!!!), pourtant si tu savais comme je les aime…
Bref, le combo grignotage+instagram ou youtube est devenu ma « zone de réconfort » quotidienne… a grand renfort de biscuits (maison certes, mais biscuits quand meme!) je me sens mal dans mon corps. je digère mal et malgré mes 46 kilos toute mouillée, il me reste un « gros ventre » qui me complexe et me hante.
C’est dur de tant donner à ses enfants et de si peu s’aimer…
Merci pour tes mots si justes. Dès demain, eau chaude et savasana à toute occasion. Je vais meme citer ton texte en cours si tu me le permets!
Taia, je suis tellement touchée par ton témoignage!! ça m’a donné des frissons.
Bien sur tu peux citer le texte et on se retrouve connectées au sol, pour vraiment se donner de l’amour.
Ce soir avec ma pratique de yoga j’ai posé l’intention de laisser partir le jugement que j’ai envers moi en tant que maman.. peut être qu’on peut poser l’intention ensemble :)
Plein d’amour,
Cécile
Merci Cécile sur le paragraphe concernant l’énergie des médias. Mes origines font que je me sens obligée de suivre les informations tous les jours et en permanence. Cela m’affecte, je prends tout à cœur et résultat : je suis vidée. Donc grand OUI pour le projet chéri ton corps (et cœur ;-))
Chère Cécile, tes mots résonnent toujours en moi. Merci de partager ce que tu vis et ressens. Je lance de la musique et allume la bouilloire. Je t’embrasse jolie maman et femme de l’univers.
Merci Cécile pour tes mots qui résonnent toujours beaucoup en moi quand je te lis.
Bébé deux à rejoint notre aventure familiale il y a maintenant 17 mois.
Tsunami numéro 2!
C’est ma vision de la naissance d’un enfant : un tsunami. Une énorme vague qui nous emporte.
Un moment d’une extrême intensité, qui, si on est pas préparés, peut nous faire paniquer, nous faire perdre nos repères, nous faire toucher le fond, nous éloigner de notre conjoint si on ne se serre pas la main assez fort…
Et puis après la vague, le retour au calme. On sort la tête de l’eau, on retrouve l’autre (ou pas), on reprend la nage, doucement, puis plus sûrement, on revoit le soleil, et on fait le bilan. On reconstruit…
Et il y a le corps.
Bébé 2 est encore allaité. Pour notre plus grand bonheur à tous les deux. Mais parfois, je sens vraiment cette fatigue, ce corps qui puise sans cesse dans ses réserves. Le tire allaitement au travail (à ce propos je t’envoie tout mon courage. J’ai rangé mon tire lait après 7 mois de tirages au travail, avec un grand soulagement, mais surtout une grande fierté ! Je l’ai fait, j’ai donné le meilleur à mon bébé, malgré la reprise, les trajets, la maison, les engorgements…).
17 mois de réveils nocturnes. Pas une nuit où je me dis « j’en peux pluuuuuus » et où je pense dans la seconde qui suit qu’un jour ce sera fini, et je ne pourrai pas revenir en arrière, sentir de nouveau ce petit bonhomme tout contre moi, sentir le soulagement quand il trouve mon sein, sentir ses cheveux pendant qu’il téte, sentir qu’il s’endort dans mes bras. Alors je souffle et je savoure, comme si c’était la dernière fois !
Et puis il y a deux mois, le retour de couche. Le retour des cycles et des montagnes russes hormonales et emotionnelles. Les fringales ou les nausées, les douleurs ou la libido en feu… Bref le corps qui reprend ses droits. Ok. Il faut l’accepter…
Hier je suis allée courir. 2 ans sans faire de sport. Moi qui en ai toujours fait. Et j’ai senti mon corps, mes muscles, mon souffle. On fait la paix, mon corps et moi. On se retrouve.
Et je tombe sur ton article.
Voilà un projet qui me parle. « Chéris ton corps ».
Ah oui, il serait grand temps !
Chère Ingrid,
Ton histoire est forte ! Merci de l’avoir partagée avec nous – elle fait beaucoup de bien !
Je sens mes pieds sur la terre, mon corps, mon ventre qui respire, en te lisant. J’espère que tu continues à revenir à la maison, moment après moment, toi aussi..
Je t’embrasse,
Cécile
Bonjour Cécile,
Je suis heureuse de vous retrouver sur ce blog! Je vous envoyais régulièrement, en pensée, tous mes voeux de bonheur depuis votre dernier article, en espérant que tout allait bien pour vous, votre conjoint et votre enfant :)
Merci pour ce bel article! Il devient si difficile de s’écouter dans ce monde qui va si vite! Etant à mon tour enceinte, je pense que votre projet m’aidera à m’écouter de mieux en mieux (fatigue, envies alimentaires et autres changements bizarres vécus lors d’une grossesse).
Au plaisir de continuer à vous lire! Et bon courage pour cette période qui doit être à la fois si difficile et si belle!
Qu’il est bon de lire tes mots au début de ma journée <3
En ce moment, je suis prise dans un tourbillon d'émotions dû à beaucoup de changements dans ma vie et ne sachant pas toujours comment les gérer, les compensations sont nombreuses et ne correspondent évidemment pas à ce qu'aurait besoin mon corps, ma tête et mon coeur.
Ce matin je m'imprègne de tes mots, je prends conscience de mes actions et de l'importance de prendre soin de ce corps qui me porte chaque jour.
Merci Cécile pour ces partages, ils résonnent toujours en beaucoup d'entre nous :)
Coucou et bravo pour ton blog que je découvre. J’aime ton naturel ! Ce que je ressens en lisant c’est que je pense que lorsqu’on est habituée à se connaître, à aimer comprendre, etc. , et qu’un petit bébé arrive, c’est souvent le gros bordel ! Tout y passe : sommeil, kg, comportement … Ce que j’en retiens c’est qu’il n’y a pas de règle et qu’il ne faut pas se comparer. Et c’est vraiment hyper fort d’apprendre sur soi par son enfant. C’est jamais terminé en plus !!! Perso, le sommeil s’est bien passé, je me trouvais trop forte dans mon lâcher prise, ah ah ah , c’était sans compter sur l’acquisition de la propreté. Je me mets dans de ces états, waouh, cette honte :( Ben je pouvais faire la belle avec le sommeil, parce que là, j’ai une belle surprise psychanalytique !!! Tout ça pour dire que je trouve les choses hyper compliquées parfois mais c’est tellement profond aussi.
Concernant la grignote. De mon côté c’est passé comme c’est venu, vers les 9 mois. J’ai eu une remorque vélo en cadeau, adaptée aux bébés, c’était mon rêve. Je me suis retrouvée en partant balader avec le loulou derrière. Et un jour j’ai dit « tiens, je bouffe plus », quelques temps après « tiens je rentre dans ce jean » . J’avais jeté ma balance et pour la visite des un an, c’est le médecin qui m’a demandé de monter sur sa balance et j’étais revenue largement à mon point de départ. Une fois alignée, heureuse ou je ne sais quoi, c’est parti en même pas 3 mois (largement 10 kg)
Il n’a pas fini de t’en apprendre de belles Léon, il est petit mais il en sait des choses, à sa manière :) Biz
Merci Cécile pour ces mots qui résonnent en moi comme une évidence..j.ai découvert ton blog aujourd’hui et tu as déjà boosté mon énergie rien qu’en te lisant :) je te suis dans ce beau Projet chéris ton corps !!
Plein d’amour .
Bonjour,
Merci pour ces précieux conseils, je vis des moments similaires actuellement, bébé grandit mais mon corps ainsi que mon esprit sont encore remplis de fatigue, la reprise du travail approche, les nuits sont toujours courtes….
Allez je respire pleinement en conscience,….
Et à mon assiette !
Merci ☀
Merci Cécile…
Comme c’est difficile de se chérir.
Pour être vraiment honnête, je tends « désespérément » vers tout cela depuis plusieurs années déjà.
Prendre soin de moi, faire du sport, du yoga, méditer, j’ai jeté ma télé, je consomme bio…………. mais.
Mais c’est comme si mes « démons » me rattrapaient sans cesse ! Dés que je mange avec mon ami, c’est verres de vin, dés que je sors, j’ai recommencé à fumer après 4 mois d’arrêt, je mange très souvent des choses que je ne souhaite pas manger en fait, mais culturellement, socialement, je ne peux faire autrement, c’est du moins mon sentiment. En tout cas, pour l’instant je n’ai pas la force. Ca va de l’andouillette à la crème au kebab, alors que j’aimerais tant être végétarienne et forte.
Ma fille à 5 ans. J’aimerais tant retourner en arrière, à sa naissance. M’enlever toute cette pression. Ne pas écouter mon entourage, prendre à cœur ce qu’il me disait. Mon corps était meurtrit, épuisé. J’étais seule, je me sentais abandonnée par mon mari -nous sommes aujourd’hui séparés- et je craquais très souvent. En pleurs, en cris. Aujourd’hui, j’ai honte de ce que j’étais.
Bref.
Merci de partager tout ceci. Merci de m’inspirer, de m’apporter l’envie de continuer. La motivation, la force.
Comme je le dis souvent à ma fille, nous sommes des princesses guerrières. Belles, fortes, et capables.
Belle journée,
Bonjour Cécile, bonjour à toutes les mamans de jeunes enfants, oui, très joli programme « Chéris ton corps » ! Ce matin je me suis créé ce mantra : « Le plaisir me guérit, me rend belle et me fait maigrir » pour m’inciter à être dans le plaisir le plus souvent possible dans la journée. Et puis surtout j’ai un truc à donner aux mamans, quand votre bébé est agité, geignard, en colère, excité, en résumé : pas bien pour une autre raison que la faim ou le besoin d’être changé, prenez-lui la main et pressez doucement le bout de ses doigts, de chaque côté de ses ongles, avec votre pouce et votre index, tranquillement, trois ou quatre pressions douces à chaque doigts. Je ne sais pas si c’est radical pour chaque enfant, mais ceux pour qui ça marche c’est formidable, ça les apaise immédiatement et les décharge de toute cette énergie bloquée… et c’est autant de sérénité gagnée et engrangée pour toute la maisonnée !
Chérissons notre corps et chérissons la vie ! Belle journée à toutes !
Sophie
Je plonge dans le projet « Chéris ton corps » avec bonheur.
Besoin d’être plus à l’écoute de moi avec un bébé de 2ans et un 6mois, ce que je lis me parle et résonne en moi. Merci pour ce délicieux partage de moment de vie et d’émotions vraies, qui me permet de mieux prendre conscience de mes véritables envies, et d’accepter mes fluctuations d’énergie.
Merci de cette sincérité profonde qui permet de faire germer des petites graines semées dans mon cœur.
Et moi j’ai un grand garçon de 13 ans mais je suis tourbillonnante…. Alors j’ai aussi besoin
de revenir au centre. Merci pour ce merveilleux texte.
Bonsoir Cécile,
merci pour tes mots et tes partages.
Oui il faut rendre à notre corps tout l’amour qu’il nous donne. Il nous abrite, nous guide, nous donne, nous parle… alors redonnons-lui sa place et et chérissons-le comme il le mérite.
J’adhère complètement <3
Plein d'ondes positives
C’est un bien joli projet !
Mes grossesses sont loin derrière ( 4 ans et des brouettes) mais je malmène trop souvent mon corps au profit de choses qui me pompent de l’énergie (technologies, travail, désorganisation qui m’amène à courir partout)…
Je découvre ton blog aujourd’hui, c’est merveilleux. Il me renvoie aussi un an et demi en arrière dans le tourment de la fatigue avec un bébé qui ne dort pas. Je souhaite juste te glisser un petit mot pour te dire que le choix du tire lait joue aussi énormément sur le lait que tu peux avoir. Ce lait il est pour ton bébé que ce soit au sein ou au tire lait (j’ai commencé 2 mois et demi au tire lait avant de pouvoir allaiter ma fille, alors je le vois un peu différemment). L’allaitement change avec le bébé, et le tire-allaitement aussi. Il est important d’avoir un tire lait sur lequel tu peux changer la fréquence et la force de la succion. Et comme ça tu pourras les régler selon tes ressentis, en fonction de tes cycles. J’étais pareil, je n’avais presque plus de lait, mais juste la semaine avant mes règles. C’est tellement beau de te lire, merci.
Bonjour Helyette,
Merci pour ton message, merci pour tes conseils!
Je t’embrasse,
Cécile
Merci pour ce beau partage. Je n’ai plus de bébé mais 2 beaux enfants et un corps que j’ai négligé et que je maltraite encore trop souvent. Je suivrai tes conseils avec plaisir.
Chère Cécile, bienvenue dans le monde des mamans (6 mois c’est encore nouveau!!). Ce que tu décris là j’y suis passée aussi. Les débuts en tant que maman je les ai trouvés difficiles et éprouvants tant physiquement que mentalement : ma relation nouvelle à ma fille, allaitement pas très « productif », un corps modifié, et surtout un univers mental fait de tout un tas d’injonctions intérieures et extérieures qui tournent toutes autour de la question de la performance : comment être « la meilleure mère possible pour mon enfant », « quel est le meilleur lait infantile », « redevenir attractive à mes yeux »etc. Pour être honnête afin de naviguer (à vue) au milieu de ce brouhahah et m’en sortir, jai lache du leste sir certaines choses et considéré que « le mieux était l’ennemi du bien ». Ca vaut notamment pr ma relation à l’alimentation qui a cette époque etait tres émotionnelle. Certes je voulais perdre du poids mais encore plus je voulais éviter de m’énerver contre ma fille quand elle criait alors..je mangeais des aliments qui mapaisaient même si très sucrés. J’ai décidé que je perdrais quand je « serais prête »cad quand je serai apaisée par ailleurs et ne pas me mettre la pression. Il m’a fallu environ 3 ans pour récupérer a peu près ma « ligne » …
Depuis j’ai fais une formation en PNL ;j’ai découvert une super technique pour gérer les conflits qu’on a en soi (un comportement qu’on arrive pas à stopper ou l’inverse) en ouvrant notre esprit vers de nouvelles possibilités d’actions . Ca m’aide dans les moments où je veux avancer… et ça me fera plaisir de te le partager si ça t’intéresse !!
Bise
Chère Cécile, bienvenue dans le monde des mamans (6 mois c’est encore nouveau!!). Ce que tu décris là j’y suis passée aussi. Les débuts en tant que maman je les ai trouvés difficiles et éprouvants tant physiquement que mentalement : ma relation nouvelle à ma fille, allaitement pas très « productif », un corps modifié, et surtout un univers mental fait de tout un tas d’injonctions intérieures et extérieures qui tournent toutes autour de la question de la performance : comment être « la meilleure mère possible pour mon enfant », « quel est le meilleur lait infantile », « redevenir attractive à mes yeux »etc. Pour être honnête afin de naviguer (à vue) au milieu de ce brouhahah et m’en sortir, jai lache du leste sir certaines choses et considéré que « le mieux était l’ennemi du bien ». Ca vaut notamment pr ma relation à l’alimentation qui a cette époque etait tres émotionnelle. Certes je voulais perdre du poids mais encore plus je voulais éviter de m’énerver contre ma fille quand elle criait alors..je mangeais des aliments qui mapaisaient même si très sucrés. J’ai décidé que je perdrais quand je « serais prête »cad quand je serais apaisée et donc de ne pas me mettre la pression. En plus l’accouchement est un gros stress pour le corps. Alors je voulais pour lui beaucoup de douceur…. au final il m’a fallu environ 3 ans pour récupérer a peu près ma « ligne » …
Depuis j’ai fais une formation en PNL ;j’ai découvert une super technique pour gérer les conflits qu’on a en soi (un comportement qu’on arrive pas à stopper ou l’inverse) en ouvrant notre esprit vers de nouvelles possibilités d’actions . Ca m’aide dans les moments où je veux avancer… et ça me fera plaisir de te le partager si ça t’intéresse !!
Bise
Merci pour cet article si tendre, et si intéressant !
Je ne suis pas (encore) maman, mais un recentrage est toujours bénéfique.
Je vais adopter ton idée de s’allonger dès que mon réflexe « portable » pointe son nez.
A très bientôt !